Résumé :
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'Traces d'être et bâtisse d'ombre'achève la trilogie débutée par 'les détours de l'agir' et 'Singulière ethnie'. Alors que dans 'les détours de l'agir' il s'agissait d'explorer plus à fond les virtualités du mode d'être autiste - encore nommé l'être-infinitif par Deligny - et que 'Singulière ethnie' proposait une interprétation du pouvoir, 'Traces d'être' s'enquiert de ce qui demeure de l'être-infinitif en l'homme régi par le subjectif. Ce qu'enseigne à Deligny sa longue fréquentation des enfants fous, c'est en somme que l'humain - le spécifiquement humain - n'est pas du tout là où on le situe habituellement, mais qu'on tombe sur lui en ces 'agirs' où personne n'aurait l'idée d'aller chercher... "A tous les points de vue, l'entreprise de Deligny s'affirme comme véritablement exemplaire." (Roger Gentis) [résumé d'éditeur]
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