Résumé :
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A partir d’une clinique de la douleur physique dans le cadre d’une somatisation, cet article interroge les liens entre douleur physique et processus de négativation, dont l’hallucination négative. Il étudie le rôle de la douleur à la fois dans son versant traumatique de désorganisation mais aussi dans sa fonction anti-traumatique, comme ultime butée à l’effondrement. Il propose l’hypothèse de la douleur comme 'substitut' d’une structure encadrante lorsque celle-ci est en défaut pouvant déboucher sur un processus de réorganisation. [Résumé d'éditeur]
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