Résumé :
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Le consentement, sur la base d’un éclairage clinique, doit être recherché par le médecin et les soignants. L’argumentation se doit d’être cohérente et réfléchie, afin de faciliter le choix du patient. La question du consentement est plus prégnante en psychiatrie en raison des différentes pathologies. L’exemple de la schizophrénie avec l’expression du délire, les hallucinations ou la désorganisation est le reflet des difficultés rencontrées dans la recherche du consentement. Celle-ci peut alors être appréhendée comme un outil thérapeutique favorisant la rencontre et la confiance. [Résumé d'auteur]
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