Résumé :
|
Philippe Chaslin s'applique à une refonte des fondements de la clinique pour pallier l'insuffisance de la nosographie. Il en tire une réflexion sur le classement qui l'oriente vers un questionnement à propos des mathématiques, sa passion première. Nous y voyons un désir de théorie. Il aura fait le constat d'une parenté, qui restera pour lui énigmatique, entre la clinique et la production mathématique. Cet article se présente sous la forme d'une étude de ses écrits. [d'après le texte de F. Hulak]
|