Résumé :
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Comment savoir qu'une personne ne veut pas être informée d'un diagnostic, grave, lui poser la question n'est-ce pas déjà l'informer ? Quelles informations appropriées le médecin doit-il à son patient pour qu'il puisse librement décider de son traitement ou des explorations nécessaires ? Informer sans précaution, n'est ce pas chercher à fuir ses responsabilité ? La trop grande brutalité d'une information est aussi répréhensible que l'absence d'information. Mais lorsque le malade reçoit une mauvaise nouvelle, le moment où il comprend, où il réalise la gravité de la situation n'est-il pas inévitablement brutal. Ainsi le président SARGOS dans une communication au cours d'un jeudi de l'Ordre, rappelait qu'il y a un cadre dans lequel s'inscrit la relation médecin-malade, celui des devoirs particuliers des médecins. [d'après le résumé d'éditeur] (Annexes consultables ici : http://www.conseil-national.medecin.fr/system/files/Annexes_linformation_du_patient_CNP_2012.pdf?download=1)
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