Résumé :
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Le CNE estime que l'analyse bénéfice-risque est en faveur de l'informatisation des prescriptions, sous certaines conditions, en particulier, à condition que le délai de validation de l'outil soit respecté et que la mise en place de cet outil soit progressif pour permettre aux soignants d'intégrer ce changement. La prescription informatisée doit rester un outil, et ne doit pas pouvoir devenir un substitut à la décision thérapeutique. Les annexes relatent une expérience positive au sein de l'hôpital Louise Michel, à Evry
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