Résumé :
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A travers deux illustrations cliniques nous avons tenté de montrer que séparation précoce n'est pas synonyme de trouble de lien mère-enfant. La présence d'un tiers solide, permettant à l'enfant de s'étayer et l'élaboration du vécu de la séparation, permettent de diminuer les risques d'apparition ou de persistance des troubles du lien. Par ailleurs, la pathologie parentale, surtout lorsque l'enfant présente des symptômes qui sont en lien avec la fantasmatique de la maman ou celle du couple, semble être un facteur de persistance des troubles du lien mère-enfant et des symptômes de l'enfant, d'où toute l'importance de la prise en charge précoce de ces troubles. [extrait du résumé d'auteur]
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