Résumé :
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Dans l'affaire du viol de Gisèle Pélicot, la majorité des 51 accusés se voient imposer un suivi psychologique dans le cadre du suivi socio-judiciaire (SSJ) à leur peine lors des premières réquisitions. En quoi consiste ce dispositif et quelles sont les conditions requises pour sa mise en oeuvre ? Depuis la proclamation de la loi Guigou en 1998, le suivi socio-judiciaire est largement appliqué pour répondre à un devoir de soin, prévenir la récidive et favoriser la réinsertion des condamnés pour violences sexuelles. Comment est pensée la stratégie de ces soins psychologiques et psychiatriques ? Quels sont leurs objectifs et leurs résultats ? [D’après le résumé d’éditeur]
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