Source
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TOPIQUE (n°161)
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Auteur(s) :
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MIJOLLA MELLOR Sophie de, Aut. ; DONEGANI Jean-Marie, Aut. ; HOFFMANN Christian, Aut. ; BIRMAN Joël, Aut. ; CHRISTAKI Angélique, Aut. ; BERNAT Joël, Aut. ; LELEUX Fabienne-Charlotte, Aut. ; GUTTON Philippe, Aut.
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Année de publication :
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2024
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Pages :
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5-211
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Mots-clés :
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AGRESSION SEXUELLE ;
CONFLIT ;
DESTRUCTIVITE ;
HAINE ;
HONTE ;
IDENTITE ;
MORT ;
QUESTION DE SOCIETE ;
VIOLENCE ;
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Résumé :
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L’actualité nous rappelle que la paix comme phénomène naturel est très difficile à maintenir au-delà d’un certain nombre d’années et que les guerres menées à l’extérieur ont aussi pour fonction de soulager les tensions internes dans un pays, y compris dans une démocratie. Si Einstein avait pu penser que la notion de ‘pulsion de mort’ ouvrait à la compréhension de ce phénomène et qu’elle aurait pu ainsi maîtriser les conflits, Freud l’en avait détrompé rappelant que la guerre continuerait d’exister tant que les sociétés seraient très différentes les unes des autres à moins, ajoutait-il d’apprendre à endurer la vie en se préparant à la mort. S’agit-il pour autant de haine ? Ce numéro de ‘Topique’ [propose notamment] une étude des arguments de la guerre révolutionnaire pour une cause juste et un questionnement sur la haine collective et la guerre. La destruction portée par la guerre et les revendications identitaires qui la sous-tendent sont confrontées au fait qu’elle ne réponde pas tant à la haine qu’à une obligation ressentie ou non comme nécessaire par celui qui combat. Par ailleurs, la haine n’implique pas nécessairement la destruction et la destruction n’est pas que le fruit de la haine… [D’après le résumé d’auteur]
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Contient :
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