Résumé :
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Les auteurs proposent de saisir le ‘ravage’ comme une occurrence d’un travail de déliaison du lien social et familial, entendu comme ravage causé au symbolique, qui serait particulièrement mis en lumière au cours de la période pubertaire. C’est à partir du cas d’une jeune adolescente de 14 ans, que nous établirons la relation entre le social, le familial et le sujet pour y lire cette tridimensionnalité du ravage. Celui-ci permet de mettre en perspective l’inflation des symptômes subjectifs avec l’affaiblissement du symbolique et de l’imago paternelle, et voit son traitement possible dans une relation de transfert. [Résumé d’éditeur]
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