Résumé :
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A partir de cas cliniques, l’auteur propose de décrire l’errance de l’écoute analytique quand elle s’accorde avec la dimension énigmatique du transfert. Ce que l’analyste entend n’est pas ce qu’il croit entendre. Pas plus d’ailleurs que le patient ne dit ce qu’il croit dire. Etre sans mémoire ni désir, comme le recommande Bion, ouvre à un échange où l’informe prend sens. Cette errance-là trouve sa destination en permettant des surgissements inopinés de motifs inconscients. [Résumé d’auteur]
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