Résumé :
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Introduction : Le confinement, dû à la pandémie de la COVID-19, a été une expérience brutale, qui a durablement impacté le quotidien des individus. Objectif : Étudier la construction de la représentation sociale de cet événement a été suivie sur une année sur deux phases d’échantillonnage (mars 2020 puis avril 2021). Méthode : Le suivi de l’évolution de la représentation sociale a été réalisé par la méthode d’association verbale hiérarchisée, et un questionnaire de caractérisation. Résultats : Les résultats obtenus ont mis en évidence, d’une part, l’émergence d’un noyau figuratif qui se transforme en noyau central par la répétition et la pression des épisodes de confinement ; d’autre part, la variabilité de la représentation sociale du confinement en fonction du statut social, les salariés structurent la représentation sociale autour de l’isolement alors que les étudiants sont centrés sur la solitude. Conclusion : Les effets du confinement se retrouvent dans la représentation sociale du confinement, montrant un impact sur la santé mentale et plus particulièrement celle des étudiants. [Résumé des auteurs]
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