Résumé :
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La féminité ne problématise pas l’œuvre musicale de Mozart, 'La flûte enchantée', sur le livret de Schikaneder. Mozart, musicalement, sans aucunement désincarner les personnages féminins de sa Flûte, semble en dessiner l’épure, en rassembler l'essence jusqu'à une transparence du cœur et des sens qu'on peut bien appeler sublime sans que, pour autant, ce cœur et ces sens s'évanouissent dans l'abstraction des aphanasis. La féminité est la notion privilégiée et rédoutable de la pensée en occident... [premières lignes]
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