Résumé :
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Comment l’enfant en retrait psychique construit‑il son monde intérieur, évacuant le sein pour le remplacer par un monde idéalisé, omnipotent ? Comment la fonction de pensée parentale, selon que sa défaillance soit qualitative ou quantitative, conditionne-t‑elle les différents degrés de repli, voire le contenu du monde hallucinatoire recréé par l’enfant ? La psychopathologie permet à l’analyste de préconcevoir une dynamique possible à venir dans le transfert, soutenant sa contenance, mais laissant libre sa capacité négative. [Résumé d’auteur]
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