Résumé :
|
Nous sommes condamnés à vivre avec nos gènes, mais somme-nous condamnés par nos gènes ? Les études génétiques récentes de familles dans lesquelles ségrègent des troubles bipolaires démontrent que notre propension à développer la maladie varie en fonction de notre patrimoine génétique, mais cette vulnérabilité n'est, souvent, qu'une différence de sensibilité à des facteurs environnementaux. Même si elle n'est pas déterministe, cette exploration génétique peut, néanmoins, nous permettre de mieux appréhender la prise en charge thérapeutique des personnes malades [Résumé d'auteur]
|