Résumé :
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Il a fallu attendre les années 1980 pour que s’impose la notion selon laquelle la cure du psychotique pouvait être tentée, non par une interprétation de la jouissance, mais par une manœuvre du transfert cherchant à la réguler. (…) Les temps ont changé. Il devient fréquent d’entendre prôner une conduite de la cure transtructurale, qui n’aurait plus à s’embarrasser de la structure subjective. Ce discours s’appuie en général sur des références multiples, toutes postérieures à l’enseignement de Lacan, mêlant forclusion généralisée, approche continuiste, et psychose ordinaire. Son argumentation la plus solide repose sur la transversalité du sinthome. [extrait de l’article]
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