Source
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NPG : NEUROLOGIE, PSYCHIATRIE, GERIATRIE (n°120 vol 20)
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Auteur(s) :
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HYVERT S, Aut. ; MOUFFAK A, Aut. ; MARFISI DUBOST A, Aut. ; LEPINE MA, Aut. ; AUFFRET M, Aut. ; JEAN BART E, Aut.
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Année de publication :
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2020
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Pages :
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380-382
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Mots-clés :
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ABANDON DU TRAITEMENT ;
CAS CLINIQUE ;
MALADIE D'ALZHEIMER ;
MALADIE IATROGENE ;
PSYCHOTROPE ;
SYNDROME DE SEVRAGE ;
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Résumé :
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Nous rapportons le cas d’un homme atteint de la maladie d’Alzheimer, ayant présenté une dégradation de ses troubles cognitifs, avec des épisodes d’agressivité, dans les semaines qui ont suivi l’interruption de son traitement par paroxétine et donépézil. Cet épisode a conduit à prolonger son hospitalisation, à la reprise de ses deux traitements psychotropes, et à l’initiation d’un neuroleptique et d’une benzodiazépine. Le but de cette observation est d’abord de rappeler que l’arrêt brutal de certains antidépresseurs peut augmenter le risque de syndrome de sevrage. Elle permet également de discuter du risque d’événements indésirables lié à l’arrêt brutal des anticholinestérasiques alors qu’il n’existe pas à ce jour de recommandations de bonnes pratiques relatives à leur arrêt. [résumé d'auteur]
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