Résumé :
|
Les médecins généralistes ont un rôle majeur à jouer dans l'initiation de la démarche diagnostique des troubles cognitifs, qui devrait se renforcer à l'avenir. Cette démarche est délicate à mettre en œuvre dans le cas de la maladie d'Alzheimer car la symptomatologie peut être difficile à distinguer du vieillissement physiologique ou d'un diagnostic différentiel. L'incertitude sur l'impact du diagnostic précoce et l'absence de consensus sur les tests à utiliser pour l'évaluation initiale expliquent l'ambivalence des médecins généralistes. Celle-ci peut se résoudre par une prise de décision partagée au moment opportun, concernant chaque étape de la démarche diagnostique, entre le médecin et le patient éventuellement assisté d'un aidant. [résumé d'auteur]
|