Résumé :
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K. Boudarse relève le peu d’analyse groupale publiée pour ce qui concerne les pratiques de dessin d’enfant, notamment dans les thérapies familiales. G. Dufayet et R. Riand interrogent les limites de l’illusion groupale dans un groupe de parole en addictologie. Celles-ci se retrouvent souvent dans certains groupes et certaines institutions : comment, dès lors, se dégager de cette expérience fusionnelle pour amorcer un processus thérapeutique nécessairement frustrant ? Enfin, J. Chevalier, C. Bonnet, C. Vollon et G. Gimenez proposent une réflexion sur la pratique winnicottienne du squiggle, à partir des concepts de l’analyse de groupe. Ils montrent la fonction polyphonique du squiggle, par la mise en résonance des groupes internes patient-thérapeute. [présentation du dossier]
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