Résumé :
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Le recours au corps, notamment au regard et au toucher, dans la psychothérapie psychanalytique corporelle, a souvent éveillé la suspicion concernant la séduction, l’érotisation, la suggestion ; il se révèle cependant nécessaire pour revenir aux fondements de l’appareil psychique. L’élaboration du contre-transfert de l’analyste permet à ce dernier d’en éviter les écueils. Au stade prégénital, le passage par l’acte qu’est le toucher éveille les manifestations du vécu, écho tactile redynamisant le fonctionnement psychique. [Résumé d'éditeur]
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