Résumé :
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M’appuyant sur la clinique de deux adolescents manifestant une crise oedipienne exacerbée en lien avec des perturbations précoces de la relation à l’objet primaire, le recours à la pornographie dans ses représentations et-ou dans sa pratique correspond à un processus défensif vis-à-vis de la menace traumatique de l’attirance incestueuse à l’égard de la mère et vis-à-vis de la relation génitale qui implique les enjeux de la relation à l’autre. Cette sexualité régressive et défensive concerne beaucoup d’adolescents, à des degrés divers, au début de la crise d’adolescence.[Résumé d'éditeur]
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