Résumé :
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Cherchant à repérer la culpabilité dans le discours des pères incestueux, nous y avons surtout trouvé la honte, et une notion souvent vague de transgression. Peu de remords, mais par contre des versions des faits riches en mécanismes de disculpation, que nous avons pu regrouper en sous-unités distinctes. Ces mécanismes s'orientent essentiellement suivant deux axes. Le rejet ou du moins le partage des responsabilité que ce soit sur la famille l'entourage ou les parents, vecteurs du modèle incestueux, la négation de l'acte lui-même soit totale soit partielle, la gravité de l'acte étant affaiblie par la négation d'une de ses caractéristique violence et conséquences. (...) Ce tabou qui a déjà tant évolué, comme on l'a vu au début de ce travail, évoluera-t-il à nouveaux. [Résumé de l’auteur]
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