Résumé :
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Le discours sécuritaire, sous prétexte de la radicalisation, tend de plus en plus à contrôler les soins psychiatriques. Le cas de M. A. est exemplaire de cette dérive. Il témoigne de l’impossibilité de soigner en psychiatrie un patient fiché S quand le ministère de l’Intérieur s’empare des soins psychiatriques sans aucune concertation avec les soignants, imposant un discours sécuritaire qui ne tient pas compte des améliorations notables que permet une prise en charge psychiatrique soutenue.[Résumé d'éditeur]
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