Résumé :
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On ne conteste plus l’idée que c’est le récit du patient qui donne forme à ce qui est informe. Ce qui est moins acquis est que la Forme que prend parfois le récit montre l’informe qui cherche à dire. Nous faisons référence à ces Formes non interprétables comme peuvent l’être un son, une odeur, un geste, un bruit ou autre, quand ils surgissent dans la séance comme des bizarreries ou des actes ‘inopportuns’. De les interroger on constate que ces actes que l’on considère parfois comme des hystérisassions du discours, sont en réalité des ‘Signes’, des appels pleins de sens face à une parole interdite. [résumé d’auteur]
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