Résumé :
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Dans cet article, à partir du texte fondateur de la Genèse et des principales notions kleiniennes, l’auteur fait appel à la double contribution de la théologie et de la psychanalyse, afin d’esquisser une généalogie du meurtre sous le signe de l’envie qui est à son origine. Le passage de l’envie à la gratitude et à la notion de confiance sans laquelle aucun lien interpersonnel ne serait possible est étudié dans le cadre de l’articulation de l’individuel et du collectif, à l’interface de la psychopathologie et du 'travail de la culture'. [résumé d’auteur]
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