Résumé :
|
Remettre en question l'anhédonie musicale de Freud nous a amené à envisager ses rapports – libidinalisés et conflictuels – à la voix, à la chanson et même à l'Opéra. Ayant trouvé – dans leurs textes, leurs Mémoires, leurs correspondances – des connivences sensibles entre Sigmund Freud, Yvette Guilbert et Marcel Proust, nous tentons de dégager en quoi leur polyphonie créatrice a renouvelé, ouvert et ‘donné du souffle' à notre culture en la transformant de manière durable. [résumé d'auteur]
|