Résumé :
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L’étoffe du transfert est fait de la reprise des relations aux objets œdipiens au renoncement desquelles le moi de l’infans s’est dérobé. Leur réactualisation anime la parole de l’analysant ; celle-ci suit les 'mouvements physiques' des représentations d’objet impulsés par le transfert (déplacement, projections, substitutions et concaténations) ; l’interprétation épouse, double et achève ce travail de la parole qui conduit à l’exfiltration finale de l’objet premier dans le monde réel ; il imposera à celui-ci d’y être représenté mais seulement par un substitut démis de sa charge oedipienne passionnelle.[résumé d'éditeur]
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