Résumé :
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En 2016, le CGLPL dénonce une trop grande facilité d’utilisation des mesures coercitives dans nos dispositifs de soins. Partagée entre protéger l’ordre public et traiter des patients difficiles, la psychiatrie bascule de l’une à l’autre de ces exigences sans trouver la juste mesure. Interroger l’histoire des soins, l’histoire de nos pratiques face à l’impuissance devant certaines formes de la maladie, est essentiel pour développer un soin respectant la dignité des personnes que nous avons à charge tout en convenant que la sécurité ne peut être toujours écartée.[résumé d'éditeur]
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