Résumé :
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Loin des premières hypothèses qui la considéraient comme une forme d'hystérie, l'anorexie a été théorisée comme une altération de l'image du corps et des relations objectales. A l'adolescence, elle s'apparente à un détour addictif face au processus adolescent. Le déni et la dysmorphophobie permettent à l'anorexique de s'opposer à ses parents et aux équipes soignantes. Les soignants doivent prendre une position tierce pour affronter l'opposition sans la renforcer, au risque de la voir s'aggraver. [résumé d'auteur]
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