Résumé :
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La santé telle qu’elle est conçue et organisée aujourd’hui a des impacts sur notre mode d’être sociétal, notre rapport à la norme, à la souffrance et au soin. Quelle pertinence y aurait-il, pour un gestaltiste, de se baser sur une telle conception de la santé ? La santé de l’OMS se réfère à un système de pensée conceptualiste qui objective l’humain. Ce système de pensée s’oppose à celui de la Gestalt-thérapie, intuitionniste. Peut-on se référer à des systèmes de pensée fondamentalement divergents sans perdre une cohérence et sans perdre une éthique ? La phénoménologie invite à une posture qui veut tenir à distance les concepts et permet le questionnement incessant pour préserver l’humain. [Résumé d'éditeur]
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