Résumé :
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Alors que la santé mentale devient un enjeu de santé publique majeur, l’Association des établissements du service public de santé mentale (Adesm) regrette la pérennisation d’importantes inégalités territoriales de financement du service public de psychiatrie. De manière pragmatique, l’Adesm propose un nouveau modèle de financement en phase avec la politique nationale de santé mentale, un modèle simple et robuste, qui garantisse une allocation équitable et dénuée d’effets pervers. Cela suppose au préalable de dresser un bilan du financement de la psychiatrie de service public. Sur cette base, l’Adesm dessine un modèle de financement par catégories de missions ou d’activités et esquisse des pistes de travail pour asseoir ce modèle pluriel.[Extrait de la synthèse]
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