Résumé :
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Toute société a par définition quelque chose à dire de la violence, ne serait-ce qu’en l’organisant dans son mode de fonctionnement. Dans ce sens, nous présentons ici un exemple emprunté à une société de l’Afrique de l’Ouest, la société lobi du Burkina Faso, qui devrait permettre de mieux comprendre comment la violence et les différentes conceptions du rapport à la mort font l’objet d’une codification précise. Cet exemple nous permet-il d’approcher avec un autre regard les formes nouvelles de violence liées à la radicalisation djihadiste ? [résumé d'auteur]
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