Résumé :
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Après avoir distingué la panique des phobies au niveau de la structure, ce texte parcourt les élaborations de Lacan concernant la phobie du Petit Hans, depuis le séminaire sur la relation d'objet, jusqu'au séminaire 'RSI'; il en ressort que Lacan a toujours placé la phobie au carrefour des trois registres : réel, symbolique, imaginaire. Dans ces dernières élaborations, Lacan a esquissé un nouage particulier pour la phobie qui réussit ainsi à arrimer la jouissance phallique à l'image du corps. Si ce point est naturellement délicat chez le garçon, qu'en est-il pour la petite fille ? C'est à cela que ce texte tente de répondre en examinant l'observation du cas de la petite anglaise présentée par Anneliese Schnurmann.[Résumé d'auteur]
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