Résumé :
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Dans cet article, l’auteur décrit à quel point l’amour a été progressivement avalé par l’économie de marché. Le capitalisme s’est mis à exploiter les mécanismes égo-grégaires à l’oeuvre dans la consommation en promettant encore plus que la satisfaction des appétences passagères : la réalisation pleine et entière de tous les phantasmes. L’érotisme, jadis prodigue et gratuit, a été transformé en une activité hautement rentable, la pornographie, moyennant la mise en place de mécanismes addictifs. [résumé auteur]
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