Source
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SANTE MENTALE AU QUEBEC (n°1 vol 40 )
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Auteur(s) :
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PERREAULT Michel, Aut. ; BOUCHARD Stéphane, Aut. ; LAPALME Micheline, Aut. ; LAVERDURE Anick, Aut. ; AUDET Denis, Aut. ; CUSSON Jean-Claude, Aut. ; ZACCHIA Camillo, Aut. ; MILTON Diana, Aut. ; SAM TION Michaël, Aut. ; CHARTIER-OTIS Mariko, Aut. ; MARCHAND André, Aut. ; BELANGER Claude, Aut.
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Année de publication :
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2015
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Pages :
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35-51
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Mots-clés :
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QUEBEC ;
ZERO ATAQ ;
AGORAPHOBIE ;
ANALYSE DE CONTENU ;
ANXIETE ;
ATTAQUE DE PANIQUE ;
AUTONOMISATION ;
COMPETENCE ;
EVALUATION ;
FORMATION ;
GROUPE D'AIDE MUTUELLE ;
MALADE MENTAL ;
ORGANISATION DES SOINS PSYCHIATRIQUES ;
PAIR AIDANT ;
PAIR MALADE ;
PARTENARIAT ;
PRISE EN CHARGE ;
PSYCHIATRIE ;
SANTE MENTALE ;
SUPERVISION ;
ORGANISATION SANITAIRE ;
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Résumé :
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Objectif : Les groupes de soutien permettent de rejoindre des personnes atteintes de troubles anxieux qui ne sont pas desservies ou ne le sont que partiellement par les services de la santé. La présente étude porte sur le recours à des pairs aidants pour l’animation d’un programme d’autotraitement (Zéro-ATAQ). Leur point de vue sur ce programme a été documenté de manière à déterminer les aspects qui pourraient en être améliorés. Méthode : Onze pairs aidants ont animé les 12 sessions du programme qui a été dispensé dans quatre régions du Québec auprès de 32 personnes atteintes du trouble panique avec agoraphobie. La perspective de dix pairs animateurs a été documentée à partir d’une entrevue semi-structurée au terme du programme, puis, après plus de six mois, par un focus group réunissant les pairs animateurs de l’ensemble des groupes. Les commentaires recueillis ont été transcrits et ont fait l’objet d’une analyse de contenu thématique. Résultats : L’ensemble des animateurs rapportent avoir apprécié leur participation. Avoir pu ainsi venir en aide à des personnes éprouvant un trouble anxieux et avoir pu améliorer leurs connaissances caractérisent les propos rapportés. La quasi-totalité des pairs animateurs ont fait valoir l’importance de pouvoir compter sur la supervision d’un professionnel au besoin. Conclusion : L’étude a mis en lumière (1) la faisabilité d’implanter un programme de ce type en partenariat avec des pairs, (2) les qualifications requises pour l’animation de ce programme, (3) les besoins sur le plan de la formation et du matériel requis, et (4) l’importance de la supervision. [résumé d'éditeur]
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