Résumé :
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On peut tout aussi bien dire que la sédation terminale est une forme d'euthanasie lente, par attrition. Son introduction constitue un tournant puisque, pour la première fois, des soignants vont avoir un geste conduisant à la mort du patient. Toute la question est de savoir pour qui la mort doit être 'confortable' ? Faut-il penser autant à ceux qui partent qu'à ceux qui restent ? C'est à l'aulne de cette question qu'il faut estimer l'influence des familles dans la destinée de membres malades et-ou en fin de vie. [résumé d'éditeur]
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