Résumé :
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Il faut prendre beaucoup de précautions pour ne pas surinterpréter les rites autour de la fin de vie, se garder des fausses familiarités et des généralisations trop rapides, si l’on veut vraiment les comprendre. Notre tendance à vouloir les traduire ou les comparer peut exprimer l’envie de leur donner un sens à tout prix, dans des rapports interculturels qui nous privent de nos réponses habituelles. Plus nous comprenons le sens profond des choses, du soin comme du rite, plus l’un et l’autre peuvent entrer en dialogue. [résumé d'éditeur]
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