Résumé :
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En France, chaque année, 50 000 personnes meurent d'un arrêt cardio-respiratoire (ACR). Sans prise en charge immédiate, plus de 90 % des ACR sont fatals. Lorsque l'alerte est vite donnée par l'entourage du patient, celui-ci est pris en charge par une équipe de secours préhospitalier. Le patient est admis ensuite la plupart du temps en service de réanimation. Chez les adultes, la majorité des ACR ont une cause cardiaque. Ainsi, les patients qui sortent de l'hôpital doivent reprendre pied dans les réalités du quotidien. Ils sont encouragés à adopter une hygiène de vie pour prévenir le risque de récidive. Il arrive cependant que le médecin réanimateur soit amené à arrêter les thérapeutiques actives. L'équipe soignante est confrontée à un problème éthique qu'elle doit comprendre et mettre en oeuvre. [résumé d'auteur]
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