Résumé :
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Les auteurs lient, du moins en Russie, l’histoire des conceptions du trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (THADA) à la recherche d’options thérapeutiques pour traiter ce syndrome. Ils remettent en question la pertinence et-ou l’efficacité de tous les traitements médicamenteux (neuroleptiques, antidépresseurs, psychostimulants, anticonvulsivants, nootropes, etc.) impliquant de nombreux groupes pharmacologiques. Se focalisant par la suite sur la prescription et la consommation des amphétaminiques et dénonçant 'les effets secondaires des psychostimulants et les errements passés dans leur utilisation', ils enjoignent la médecine moderne de 'trouver d’autres traitements, pas seulement médicamenteux, pour traiter les troubles déficitaires de l’attention'.
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