Résumé :
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Un premier cahier de Rhizome en janvier 2012 (n°43), présentait la mondialisation en tant que déterminant social de santé mentale. Ce numéro est orienté vers les actions de terrain, mais l'énormité du sujet oblige à une modestie de fourmi (un travail minutieux et répété), en même temps qu'à l'ambition d'une vision nécessairement systémique et globale. Il sera autant question de la transférabilité des modèles et des pratiques que du désir légitime d'influer sur le monde dans lequel nous vivons. [d'après l'édito de J. Furtos]
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