La sédation : un outil de fin d'existence pour une société d'aveuglés ? De la lumière électrique à la bougie
Source | JALMALV (n°124) |
Auteur(s) : | ARANDA Catherine d', Aut. |
Année de publication : | 2016 |
Pages : | 59-64 |
Notes : | Note/4 réf. bibliogr. |
Mots-clés : | ANXIOLYTIQUE ; DOULEUR ; FIN DE VIE ; MALADIE ; MOURANT ; PHENOMENOLOGIE ; RELATION INTERPERSONNELLE ; SOINS PALLIATIFS ; SOUFFRANCE PSYCHIQUE ; VIE ; |
Résumé : | Dans une perspective phénoménologique, la sédation supprime seulement la manifestation de la vie au monde des proches et des soignants. Quand je sédate une personne, j'agis sur son corps, cerveau compris, mais je n'ai aucune action sur la vie qui l'anime. Il persiste un doute : un patient sédaté se réjouit-il ou souffre-t-il encore ? La seule certitude objective est qu'il ne peut plus nous le manifester, qu'il ne manifeste plus ce qu'il éprouve peut-être encore. [résumé d'éditeur] |