Résumé :
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Dans cet article l’auteur a souhaité étudier le travail de subjectivation des liens familiaux chez un auteur de violence sexuelle dans le cadre du dispositif pénal qu’est l’injonction de soins. A partir d’une recherche clinique menée sur un mode longitudinal, il propose de montrer comment le génogramme (en test, re-test) peut être un révélateur de la mise en oeuvre du processus de subjectivation. Ce procédé permet de relever deux différences notables entre les deux génogrammes : dans le passage d’une place fantasmatique dans les liens (celle d’un 'enfant') à celle d’une position instituée concomitante avec une affiliation intersubjective ; la présence ou l’absence de nom sur les icônes parentales. Des différences favorisées, selon nous, par le dispositif d’injonction de soins.[résumé d'éditeur]
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