Résumé :
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Ce petit texte, aux enjeux cliniques et théoriques majeurs, recèle deux espèces de haine à l’oeuvre pour l’enfant mal accueilli qui se présente dans certaines cures d’adultes. La haine maternelle, aux accents winnicottiens, active et actualise la pulsion de mort de l’enfant – pulsion de sa propre mort, parfois jusqu’à la disparition de l’enfant. Seul le pardon obtenu de ses parents pour l’inconvénient d’être né permettra à l’enfant mal accueilli de lier la haine maternelle par l’amour enfantin.[Résumé d'auteur]
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