Résumé :
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L’étude des états psychotiques montre que la question de la guerre et de la paix n’épouse pas toujours les contours habituels : la violence et la destructivité peuvent se situer du côté de l’Eros, alors que l’apaisement de la parole, à l’exclusion de toute activité réelle, semble se soutenir d’une pulsion mortifère. Deux exemples cliniques extrêmes permettent d’étudier les rapports entre représentation de mot et pulsion de mort, et de formuler certaines hypothèses relatives à la résistance et à la répétition dans leurs rapports à la parole.[Résumé d'éditeur]
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