Résumé :
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L’auteur démontre comment la Gestalt peut être envisagée non seulement comme une rupture d’avec la psychanalyse mais aussi comme son accomplissement. Pour étayer son propos il examine l’évolution de plusieurs notions au sein du courant analytique : la posture de l’analyste qui progresse vers plus d’égalité avec le patient, la place dévolue au traumatisme qui oscille entre réalité et fantasme, le transfert qui passe de la reproduction infantile à la création actuelle et, enfin, la prise en compte progressive de la réalité du contact et de l’interaction dans la théorie... En plaçant délibérément l’actualité relationnelle au coeur du processus thérapeutique, la Gestalt continue les évolutions engagées. [Résumé d'éditeur]
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