Résumé :
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A partir de notre constatation d’une plus grande facilité d’évocation des émotions en contraste avec l’expression de celles-ci, nous nous sommes interrogés au sujet de l’interdit ou la répression de la manifestation d’états émotionnels. Comment situer ces éléments dans un contexte familial et sociétal, parfois ambivalent, poussant à l’expression de sentiments, tout en valorisant la maîtrise des émotions ? Ne retrouve-t-on pas au sein de nos ateliers ce paradoxe ? Nous avons tenté, à partir de la théorie de l’attachement et de la genèse de l’expression des émotions de comprendre les processus à l’œuvre à partir d’une vignette clinique de l’un de nos patients. [résumé d'auteur]
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