Résumé :
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'À la recherche désespérée des mots' aurait pu être le titre de ce travail, puisque c’est l’absence de ces mots dont il s’agit et qui signe impitoyablement des destinées comme celle d’Artaud. La place que cette absence occupe dans la rencontre psychanalytique est très significative, non pas à cause des mots non dits, puisque hélas, ils n’ont jamais existé, mais à cause de tous les autres langages qui font leur rentrée dans la scène psychanalytique par le biais des Signes. Des Signes qui, si on veut bien les accueillir autrement que comme des objets « psychotiques », permettront de découvrir, dans la Forme qu’ils prennent, que l’inscription d’anciens scénarios « muets » fait partie d’une mémoire physiologique capable de restituer au « corps-déchet-déçu » son statut de sujet « des langages'. [résumé d'auteur]
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