Résumé :
|
La peau est l’objet d’une revendication esthétique, mais simultanément, à travers la prise d’importance des attaques au corps chez les jeunes générations, à travers notamment les scarifications, elle incarne le lieu sensible de l’identité contemporaine, elle en traduit l’ambivalence, la frontière ambiguë et difficile entre soi et l’autre qui implique une mobilisation et un souci sans repos. La peau est saturée d’inconscient et de culture, elle dévoile certes le psychisme du sujet, mais aussi la part qu’il prend à l’intérieur du lien social, l’histoire qui le baigne. [résumé d’auteur]
|