Résumé :
|
La reconnaissance psychique et juridique de la relation parent-enfant dans l’adoption démontre que la filiation ne saurait être réduite à un lien biologique. En même temps, l’histoire d’une personne adoptée est faite d’un feuilletage complexe, façonné par les circonstances individuelles, mais aussi culturelles, géographiques et juridiques de l’abandon. Négocier son histoire préadoptive est un processus complexe qui ne peut se réduire aux débats actuels en France autour d’une suppression éventuelle de l’anonymat dans les accouchements dits 'sous X'. [résumé d'editeur]
|