Résumé :
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La clinique borderline montre une « indésirable » fidélité à l’objet primaire, de sorte que le problème pourrait être : comment passer d’une mémoire à une autobiographie, infléchir le grumeau de réel en l’empêchant de s’imposer comme destin, introduire une migration ? Comment travailler la haine et le sentiment de possession qui caractérisent ces patients ? L’auteur propose que c’est aussi grâce à la haine envers le nouvel objet qu’un mouvement rend possible des modulations différentes, des transformations par rapport à la configuration originelle, en réalisant un processus de désidentification. Les problèmes théoriques et techniques relatifs à cette complexe dynamique sont posés à partir de deux cas cliniques. [résumé d'éditeur]
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